L’espace public était un impensé d’un marketing qui n’avait jusqu’alors envahi que des espaces bien définis : communication Publicitaire sur des emplacements réservés dans les médias ; communication Marque Employeur sur des espaces de recrutement ; communication Commerciale sur des matériels de stimulation de vente ou de fidélisation, etc.
Et la réputation est devenue pratique de l’espace public.
Espace où peuvent se trouver convoquées toutes les dimensions : entreprise-employé-client-utilisateur-produit-service, de manière indifférenciée, avec les mêmes termes impliquant, incriminant ou félicitant chacun.
Les cadres ayant explosé, les outils existants n’ayant pas été pensés pour ce nouvel espace complexe, il faut pouvoir gérer ce désordre avec méthode et aucune réponse ne va plus d’elle-même.
Dès lors, la réputation n’est plus un aboutissement mais un préalable. Footprints, expérience client, conversations en temps réel, fact-checking… Avant d’engager le dialogue, avant toute démarche de communication, on cherchera à savoir qui vous êtes, ce que vous avez fait, d’où vous parlez, au nom de qui ou de quoi.
Quand les pratiques nées des conventions sont décodées et considérées comme manipulatrices, il faut revisiter ses stratégies, ses codes identitaires et ses pratiques avec une pensée et des méthodologies renouvelées – où intelligence et humanité, sens et cohérence, rupture et inspiration, doivent nourrir et rythmer un récit singulier.
Construire et gérer votre réputation dans cet espace public, c’est le métier de Reputation Age.